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SDF

Pendant cette période, que deviennent-ils ? Un petit poème pour rappeler que la misère ne disparait pas pendant le confinement, elle n’est seulement  plus visible.

Trois lettres sont assez  pour graver la misère

Au fronton décrépi  de notre société.

Trois lettres qui devraient inspirer la pitié

Que chacun doit avoir envers ses congénères,

Trois lettres qui pourtant détournent le regard

Des passants trop pressés les croisant par hasard.

 

Avec pour seul abri des cartons de fortune

Et pour seule chaleur les bouches de métro

Dans la nuit qui l’entoure quand le vent l’importune

Il repasse sa vie devenue un  fardeau.

 

Et quand au petit jour la rue reprend son cours,

Avec résignation il  poursuit son errance

Dans l’espoir quotidien  de  trouver sa pitance

Ou seulement quelqu’un qui lui dise bonjour.

 

D’un banc public à l’autre il erre dans la ville

Ignorant des enfants les remarques imbéciles,

Tentant ici et là de glaner quelque aumône,

Face à l’indifférence, souvent il abandonne.

 

Et il attend le soir avec appréhension

Car de sa solitude redoute les démons.

Mais  quand la lune est belle et éclaire la nuit

Et que de la cité se sont éteints les bruits,

L’espoir serre son cœur d’une pression fugace

Celui peut-être un jour de retrouver sa place.

 

André Fauré

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